Tears of an Angel.
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 Heureusement que tu es là ... [Amalia Chérie]

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Damiano A. Ricci
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Heureusement que tu es là ... [Amalia Chérie] _
MessageSujet: Heureusement que tu es là ... [Amalia Chérie]   Heureusement que tu es là ... [Amalia Chérie] Icon_minitimeMar 1 Fév - 16:23

Heureusement que tu es là ... [Amalia Chérie] Tumblr_ld6xf4jnnd1qdz3mzo1_500

Je n'en peux tout simplement plus. Mais tu es là, Toi !



    Le réveil fut brutal. Deux voix criardes, une porte qui claque et des maux de crâne pour toute la journée. Super. Voilà ce que j’avais gagné à faire la fête hier soir. J’ouvrais un œil, puis un deuxième, regardais de chaque côté de mon corps dénudé … personne. Au moins un bon point, je n’avais pas ramené de pauvre jeune fille égarée, qui se serait perdue dans la vaste demeure Ricci et se serait évanouie en me voyant torse nu. Non je ne me jette pas de fleurs, je ne fais que relater des faits réels. La stricte vérité.

    Il fallait que je me lève et ailles voir en bas. Rien qu’au claquement de la double porte en bois massif de l’entrée, j’avais compris que ma mère était allée voir ailleurs si elle y était. Faut dire que notre père, Armand, pouvait être borné, et très très agaçant. Pour tout vous dire, je m’étais toujours demandé comment notre mère avait fait pour rester tant de temps à ses côtés sans broncher. Quitte à passer après ces petites magouilles et grandes affaires.
    Je tâtais la place vide à côté de moi, à la recherche de quelque chose à me mettre sur le dos. Bingo, un débardeur blanc se présenta à moi. Je me redressais dans mon lit, en boxeur, puis enfilais ce bout de tissus.
    La tête encore embrumée, je faisais un petit détours par le couloir menant à la chambre de ma petite sœur afin de voir si elle était réveillée avant de descendre la cinquantaines de marches qui me séparaient de la cuisine où on s’activait déjà pour préparer le déjeuner.

    Je saluais toutes les personnes qui se jetaient sur moi au fur et à mesure que je progressais dans la pièce. Puis là bas, au loin, affalé sur le bar du salon, qui était séparé de la cuisine par une vitre « brouillée », je distinguais Armand.

    Quelques minutes, et après m’être pris la tête avec mon père parce que ce dernier me rendais responsable des brouilles avec ma mère, je remontais les marches menant à ma chambre deux par deux, énervé au plus au point. Celui là, il avait le don de me mettre dans un état pas possible.

    Heureusement que j’étais soigneux, sinon j’aurais fait comme lorsque j’étais petite et colérique, j’aurais tout viré par terre d’un seul coup de main.
    Tentant de me calmer, je me mis à respirer à fond. Méthode simple et très efficace de sophrologie.
    Une idée me traversa alors l’esprit.

    Je courus presque jusqu’à la porte de la chambre de ma sœur. Et me mis à « tambouriner » contre le bois :

    « Lyly, tu es réveillée ? »

    Je collais mon oreille contre, en entendais les quelques ralles je dus me résigner. Amalia n’était pas du tout debout, et c’était même moi qui venais de la réveiller.
    Je repartis donc en direction de ma chambre. Tout en lançant, assez fort pour qu’elle puisse entendre …

    « J’avais envie de t’emmener déjeuner ailleurs. Quand tu seras prête rejoins moi dans ma chambre. »

    A présent je devais me préparer. Un jean, un tee-shirt, le tour était joué.
    Quelques minutes plus tard j’étais sorti de la douche, habillé et parfumé, Il ne me suffisait plus qu’à passer ma main dans ma touffe de cheveux, et j’étais fin prêt.
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Amalia A. Ricci
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MessageSujet: Re: Heureusement que tu es là ... [Amalia Chérie]   Heureusement que tu es là ... [Amalia Chérie] Icon_minitimeMar 1 Fév - 17:19

Heureusement que tu es là ... [Amalia Chérie] Tumblr_lfwrtgGUEu1qgacseo1_500


Quel jolie rêve ... Doux mélange de caramel, et de chamallow ... Que demande le peuple ? En tout cas moi je n'avais aucun soucis à définir de beau rêve, un rêve contenant un minimum de sucreries ! C'était pas compliqué au moins ! J'étais là dans mon grand lit à baldaquin, enfouie dans mes coussins au chaud sous ma couette. Pas totalement réveillée mais pas endormie non plus, dans un état de léthargie totale, j'étais bien au chaud, c'était confortable et en plus de tout j'étais seule dans mon grand lit chéri ! C'est qu'il n'est pas toujours facile de se rendre dans un bar, de boire, danser, faire la folle et rentrer seule ... Mais a vrai dire il n'est pas si difficile que cela de rentrer seule quand on fait trois heures de routes pour aller faire la fête afin d'être sur que personne ne sache rien de la soirée passée, en compagnie d'une Mancini. D'ailleurs je repensais à ce beau grand brun qui nous avaient accosté Eléo & moi quand j'entendis le doux son d'une dispute retentir dans la maison. Ils ne pouvaient pas ce passer de cela même le samedi ? J'ouvrais alors un oeil à l'entente de la voix de ma mère criant le même couplet que d'habitude, et claquant la lourde porte en bois, réveillant au passage tout le monde comme elle le faisait la plupart du temps sans même s'en soucier d'ailleurs. Ma mère ... Il faudrait que je pense à aller lui parler de ce petit problème, parce que ce faire réveiller comme sa plutôt que par le doux chant des oiseaux profitant du soleil sur ma terrasse me manquait vraiment là ! J'entrouvris cependant un oeil mais le referma tout de suite ! Non je ne pouvais pas assumer le fait de devoir affronter le soleil déjà bien haut dans le ciel qui tapait sur mes pauvres jambes. Non non non , je ne pouvais pas me lever, je ne pouvais pas et l'idée me vint alors de prendre mon petit déjeuner au lit ! Oh oui, doux plaisir que de prendre son petit déjeuné bien complet dans son lit, et dans l'ambiance adorée qu'est celle de la chambre en comparaison à l'ambiance totalement différente et dingue de la maisonnée ! Ouais c'était l'idée du siècle sa, et je m'aprêtait à me donner toute la force et le courage pour attraper mon portable afin de composer le numéro des cuisines quand on frappa à ma porte. Premier réflexe ? Renfouir ma tête dans les coussins , " non non je dors repassez plus tard " ! Voilà ce que je pensais au plus profond de mon esprit mais c'était pas trop crédible de dire sa ! « Lyly, tu es réveillée ? » Oh tient , une voix familière et agréable ! Une seule personne pouvait m'appeler comme sa un bon samedi matin, et d'ailleurs le fait de savoir qu'il était à la maison aujourd'hui m'emplit d'une joie soudaine. Cependant quand je veux parler sautiller pour lui dire que oui je suis là, qu'il peu rentrer mon corps n'obéit pas directement à mes ordres « Mmmmh » Bon okay ... Je ferais mieux la prochaine fois je promet ! En fait se prélasser dans son lit, c'est pas toujours bon pour son esprit faut croire ! « J’avais envie de t’emmener déjeuner ailleurs. Quand tu seras prête rejoins moi dans ma chambre. » Oh chouette ! Aussitôt dit, aussitôt fait, dans ma tête et dans mon corps tout se remit en harmonie totale, ce n'était pas la peine que je saute lui ouvrir pour lui courir après et lui dire que j'étais ravie de son idée, je savais qu'il n'avait même pas besoin de connaître ma réponse puisqu'à partir des mots " déjeuner ailleurs " il avait directement sut que j'allais forcément le suivre ! Ainsi me voilà sautant sur mes jambes, sentant la soie de ma petite nuisette reprendre sa place sur mon corps, m'étirant de tout le long et n'osant même pas me regarder avant d'aller sous la douche ! La nuit avait été courte, et l'eau chaude me fit le plus grand bien en toute sincérité, tout comme le fait de défaire tout ses foutus nœuds dans mes cheveux sortant de la douche, et m'observant cette fois-ci dans le miroir je compris qu'il allait me falloir beaucoup d'efforts pour m'occuper de la tignasse, et attrapa mon portable pour expliquer la situation à mon frère. Au bout d'une dizaine de minutes j'étais fin prête, cheveux secs et retombant le long de mon dos, pull large en laine grise sur slim noir et Jimmy Choo appropriées ! J'attrapais ma veste en cuir ainsi qu'une paire de lunette de soleils dans le dressing et mon portable à la main me dirigeait jusqu'à la chambre de mon cher frère. Non je ne toquait pas, non je n'avais pas peur des représailles, mon idée était simple : lui sauter dessus. Je ne l'avais pas vu depuis un bon moment, en dehors des réunions et de toute ses choses bien trop sérieuses pour me laisser aller au plaisir de taquiner mon frère. C'est pourquoi je rentrais dans la chambre et lui sautait dessus tandis qu'il regardait si son allure de beau gosse était parfaite ! « Mon grand frère ! » Imitation parfaite de ma voix nasillarde de gamine ! Il n'aimait pas sa, mais m'aimait assez pour le supporter de temps à autres ! Je le laissais alors se remettre ses habits et sa coiffure en place « Bon bah j'ai entendu papa & maman moi aussi ce matin, et à en croire ma grande aptitude tu t'est embrouillé avec notre cher et tendre ? » Pas la peine d'en savoir plus, c'était habituel en même temps, fallait pas être devin pour savoir sa ! Je fis un tour d'horizons de la chambre de son frère, tient pas d'affaires de filles WAOUH ! Incroyable en fait ... « Tu m'amène ou ? Un endroit ou je pourrais bien manger, du très bon hein parce que là j'ai une faim d'ogre ! » Parler comme sa ? Être comme sa ? Je ne le pouvais qu'avec lui, parce qu'il était celui avec qui je pouvais être moi sans penser aux conséquences, ou presque ...
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Damiano A. Ricci
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MessageSujet: Re: Heureusement que tu es là ... [Amalia Chérie]   Heureusement que tu es là ... [Amalia Chérie] Icon_minitimeMar 1 Fév - 18:23

Heureusement que tu es là ... [Amalia Chérie] >

Il faut juste se retourner pour s'apercevoir que l'enfance est juste dans notre dos !



    La porte s’ouvrit dans un courant d’air, je savais qu’il ne valait mieux pas que je me retourne à moins d’avoir envie de me prendre ma sœur en pleine tête. Je restais alors dos à l’attaque, m’apprêtant à recevoir quelque chose, je ne savais encore quoi.
    Elle me sauta dessus, atterrissant sur mon dos et nouant ses bras autour de mon cou. Je me penchais un peu en avant pour qu’elle ne tombe pas en arrière.
    « Mon grand frère ! » Me lança-t-elle de sa voix de petite fille. Alors qu’elle disait ça pour rire, je ne pus m’empêcher de faire un bond dans le passé. La nostalgie, l’insouciance de notre enfance. Mais Amalia descendit alors de mon dos, me sortant de mon « retour en arrière ». Elle savait que je n’aimais pas quand elle usait de sa voix d’enfant. Ça me rappelait de bons souvenirs comme de mauvais. Mais je l’aimais elle, c’était le plus important. « Bon bah j'ai entendu papa & maman moi aussi ce matin, et à en croire ma grande aptitude tu t'es embrouillé avec notre cher et tendre ? » Elle lisait en moi comme dans son journal intime, et vice versa -enfin sauf que pour ma part, je n’ai pas de journal intime. [color=midnightblue] «  Exact petite sœur. Je déteste quand maman claque les portes comme ça, de bon matin. Et je suis allé dire à notre cher père qu’il fallait qu’il cesse de se prendre le chou avec elle de bon matin, mais monsieur n’a rien voulu entendre comme toujours. Je lui ai dit d’aller se faire voir et que s’il avait besoin de nous aujourd’hui, il pouvait se mettre le doigt … Enfin bon, tu me connais, je ne lui ai pas dit ces choses là ! » J’avais parlé tout en remettant mon tee-shirt noir et mon jean, tout aussi noir, en place. Je repassais une nouvelle fois mes doigts dans mes cheveux - qui se trouvaient être de la même couleur que mes habits. Et me retournais pour faire face à ma sœur qui scrutait ma chambre, un air impressionné flottait sur son visage.

    «  Je sais ce que tu penses Lyly … » Lui dis-je d’un air presque hautin, la tête haute, le torse bombé et le sourire ravageur sur les lèvres. « Hé non, je n’ai ramené personne cette nuit chérie. Je n’avais pas envie. Hé puis … » Pas besoin de finir ma phrase tout de suite, nous aurions tout le temps de parler pendant notre petite journée entre sœur et frère.

    « Tu m'amène ou ? Un endroit ou je pourrais bien manger, du très bon hein parce que là j'ai une faim d'ogre ! » Lyly me faisait toujours rire le matin, un ventre sur pattes, sauf lorsque nous avions des invités bien sur, elle devait conserver son image de jeune fille parfaite, qui mange pas énormément mais assez tout de même. « Hum j’avais pensé t’emmener à l’Al Pesador, bon choix ou penses-tu qu’il n’est pas à la hauteur des tes attentes ? Étant donné ta faim de loup, mon choix est d’un coup mis en doute… »

    Je me détournais alors pour aller chercher une paire de lunettes dans ma salle de bain. Mais où avais-je encore laissé ces fichus Rayban ? Un rapide coup d’œil dans ma salle de bain m’indiquait qu’elles ne s’y trouvaient pas. De retour dans ma chambre, je me mis alors à chercher de partout, et tout en soulevant un oreiller, je les découvrais.   « Bravo Damiano, voilà comment casser des lunettes à quatre cents euros la paire. » me morigénais-je intérieurement. Elle trônait, fière, à l’encolure de mon T-shirt.

    Il était l’heure de partir si nous ne voulions pas être intercepté par les quelques majordomes qui étaient sans cesse après nous. Certes vous dirais que c’est bizarre de vouloir les éviter. Les gens du « peuple » donneraient n’importe quoi pour n’avoir qu’un centième de ce que nous avons. Et pourtant je peux vous dire que ça pèse au bout d’un moment. Nous aimerions avoir une vie banale souvent, ne pas être traqué par les paparazzis à chaque fois que nous faisons un pas dehors, mais c’est impossible, il faut l’accepter.

    « Lyly chérie, il est temps d’y aller. »




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Amalia A. Ricci
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Heureusement que tu es là ... [Amalia Chérie] _
MessageSujet: Re: Heureusement que tu es là ... [Amalia Chérie]   Heureusement que tu es là ... [Amalia Chérie] Icon_minitimeMar 1 Fév - 19:38

Heureusement que tu es là ... [Amalia Chérie] Tumblr_lfwrtgGUEu1qgacseo1_500

Elles étaient toute jalouse, oui jalouse que je sois sa soeur. Je ne sais pas pourquoi ni même comment il faisait pour avoir autant de pouvoir sur la plupart des filles et c'était comme sa. Mais pour moi c'était différent, quand notre père m'avait complétement laissé à la traine et quand j'avais compris qu'il n'était pas le héros que j'avais toujours vu en lui, Damiano avait su être là pour moi alors qu'il n'en était pas obligé. Après tout qui aime les petites sœurs ? J'ai toujours su au fond de moi qu'il avait pendant longtemps rêvé d'un petit frère lorsque que j'étais née, et heureusement, Cesare était arrivé par la suite. Mais en général les petites sœurs sont toujours mises en arrière plan. Pourtant sa n'avait jamais vraiment été le cas, bien sur comme toute relations fraternels on avait des hauts et des bas, des chamailleries inutiles, mais jamais rien de bien grave, tout se résolvait dix minutes après ou au pire des cas une heure après. Il était le héros de bien des personnes mais jamais personne n'aurait pus le voir comme un vrai héros tel que moi je le vois. On est pas des jumeaux et pourtant parfois on est tout comme, c'est mon double, mon frère et je crois que jamais personne ne pourra comprendre a quel point je l'aime. Lui sauter dessus, l'appeler mon grand frère, c'est toute ses petites choses insouciantes de l'enfance qui font de nous les personnes que nous sommes. Tandis qu'ils se remettaient comme il faut, son t-shirt son pantalon tout sa - pire que moi ce mec vraiment - je le regardais faire en souriant « Exact petite sœur. Je déteste quand maman claque les portes comme ça, de bon matin. Et je suis allé dire à notre cher père qu’il fallait qu’il cesse de se prendre le chou avec elle de bon matin, mais monsieur n’a rien voulu entendre comme toujours. Je lui ai dit d’aller se faire voir et que s’il avait besoin de nous aujourd’hui, il pouvait se mettre le doigt … Enfin bon, tu me connais, je ne lui ai pas dit ces choses là ! » Je levais les yeux au ciel ... Pourquoi ne pouvions nous pas avoir une famille en harmonie complète comme tout le monde le pensait ? Je rejetais mes cheveux en arrière avant de soupirer « Il est idiot et fermé comme une huitre, même si tu à beau lui parler, lui répéter les choses il ne changerait pas de positions, tu le sais et je le sais ... » Oui je le savais, j'étais de tous celle qu'il écoutait le moins, et le seul qui savait ce faire entendre en général c'était Dam. Sauf que ses derniers temps Armand était vraiment pas dans son état normal , ce qui étais peu dire. « De toute façon tu verra que cet après-midi il va ramper à tes pieds pour te demander pardon, l'affaire sera classé et sa continuera comme toujours. » Et j'avais raison, de toute façon j'avais toujours raison. « J'en parlerais à maman, parce que je pense que je ne suis pas la seule à le penser, mais j'en ai vraiment marre qu'ils me réveillent ! » Bien sur que non je ne suis pas superficielle, et oui sa m'embêtent que mes parents se disputent mais c'est comme sa depuis des années, et jamais personne n'a réussit à y changer quoi que ce soit, enfin même si personne en dehors des habitants de cette maison n'est au courant de sa ...

«Je sais ce que tu penses Lyly … » je quittais sa chambre du regard pour le regarder lui inquiète, mettant ma main sur son front « Tu n'est pas malade au moins ? » avant d'exploser de rire. Ah mon cher frère et les femmes, ses petits jouets favoris ... «Hé non, je n’ai ramené personne cette nuit chérie. Je n’avais pas envie. Hé puis … » Non ! Il ne venait pas vraiment de mettre sa phrase en suspend pas avec moi n'est ce pas ? Mais c'est qu'il est malain l'enfant, me parler de nourriture pour me faire oublier ce qu'il à dit, changer de sujet , oui la ruse suprême me parler de nourriture « Hum j’avais pensé t’emmener à l’Al Pesador, bon choix ou penses-tu qu’il n’est pas à la hauteur des tes attentes ? Étant donné ta faim de loup, mon choix est d’un coup mis en doute…» oui oui oui , c'est toujours comme sa, j'ai tout le temps fait et si je m'écoutais je passerais ma vie en cuisine ou tout ses mets délicieux attendent que je les mangent, rien que d'y penser l'eau me vient à la bouche ... « C'est parfait, José me fait toujours un très bon petit déjeuner rien que pour moi, avec des pancakes ... Oh oui des pancakes ! » Je les imaginaient déjà devant moi, tout gras, trop bons ... Et tandis que je les imaginent déjà, mon frère lui semble chercher quelque chose dont je ne connais pas le nom, je le vois chercher dans ce tout petit bazar qui c'est installé dans sa chambre, jusqu'à ce qu'il ressorte le cadavre d'une paire de lunettes. Riant de plus belle je sors ma paire à moi, toute neuve et les enfilent sur le bout de mon nez, c'est dépité qu'il s'approche de moi « Lyly chérie, il est temps d’y aller. » Oui il avait raison, et c'est moi qui passait la première, il n'était nécessaire que nous utilisions nos voiture, et je lui fit comprendre en posant les clefs de la mienne sur le tableau à clefs juste au dessous du dessin de cette dernière. Personne n'était là et c'était le moment parfait pour s'éclipser, je me voyais très mal passer par la fenêtre ...

Alors qu'on arrivait près du restaurant je me mis à rire de nouveau « Allez mon grand frère, ne pleure pas je vais t'en acheter une nouvelle paire toute belle et toute neuve, tu dois avouer que les tiennes avaient déjà six mois, elles étaient vieilles » Je disais cela ironiquement bien sur, mais connaissant mon frère c'était surement la paire de lunette qu'il avait gardé le plus longtemps ! Il les cassaient toujours, tandis que ma collection à moi prenait un tiroir entier dans mon dressing.
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Damiano A. Ricci
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MessageSujet: Re: Heureusement que tu es là ... [Amalia Chérie]   Heureusement que tu es là ... [Amalia Chérie] Icon_minitimeMar 1 Fév - 20:48

Heureusement que tu es là ... [Amalia Chérie] Tumblr_ld6xf4jnnd1qdz3mzo1_500

Partageons nos secrets, comme le font les frère et sœur. C'est important pour moi, et je sais que ça l'est pour toi aussi !



    Vous savez ce qu’est le don de « dédramatiser les choses » ? Hé bien demandez à ma sœur, elle vous fera une petite démonstration.

    Oui, j’avais une nouvelle fois belle et bien cassé ma paire de Rayban favorite. Mais le temps pressait. Ah ça doit vous faire rire. -Ils se pressent pour ne pas que les Majordomes leurs tombent dessus, quelle ironie.- Je ne trouve qu’une chose à redire à ça, chacun ses priorités. Aujourd’hui, nos priorités à ma sœur et à moi-même c’était de ne pas nous faire chopper par le personnel, point barre.
    Les tallons de ma sœur claquèrent tout le long des cinquante et quelques marches de marbres de l’escalier principal. Mais heureusement personne aux alentours. Enfin heureusement, après tout, qu’auraient-ils fait tous ? Ils nous auraient juste assaillis de questions   «  Mademoiselle, Monsieur, Bonjour. Avez-vous bien dormi ? » « Pouvons nous allez ranger vos chambres ? » Ou encore « Que voulez vous manger ? Mangerez vous avec vos parents ou dans la véranda est ? » Et blablabla. Mais ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit, je les aime bien tous. Ils sont adorables. Nous rions ensemble de temps en temps. Mais aujourd’hui je n’étais vraiment pas d’humeur à côtoyer les gens qu’Armand dirigeait au doigt et à l’œil.
    En passant devant le tableau à crochet où étaient accrochées toutes les clefs, et en voyant Malia poser son trousseau sur l’un de ses crochets vides - Oui oui, une famille bien organisée, sur ce tableau nous avions deux voire trois crochets chacun, avec notre petit nom gravé au dessus. Au moins, nous étions sur de ne pas nous tromper. Je dus en conclure donc qu’il fallait que je prenne Ma voiture. Ça ne me dérangeait pas le moins du monde, seul problème. Ma clé n’était pas sur son crochet respectif. Hum.
      «  Réfléchis réfléchis réfléchis Dam. Quand tu es rentré hier, as6tu enlevé la clé du contact ? … Non. »
    J’entrainais donc Amalia dans mon sillage, en direction du parking familial. Et là, je paris que vous êtes entrain de vous dire « Mais il n’est pas plus stressé que ça d’avoir laissé ses clés sur le contact le garçon ? » et je vous répondrez que non, car elle est juste garée dans le parking souterrain de notre Hotel et que l’entrée est surveillée vingt-quatre heures sur vingt-quatre par un gardien.

    Lorsque nous arrivâmes dans ce même parking, je tentais de savoir où j’avais garé ma jolie petite voiture. Le gardien, me voyant chercher comme un forcené, me l’indiqua du doigt. Comment avais-je fais pour en pas la voir ?! Aveugle comme une taupe.

    Quelques temps plus tard, nous arrivions à bon port. J’eu à peine le temps de poser le pied par terre que le jeune homme qui s’occuper de garer les voitures des riches personnes se rua sur moi. Je lui laissais donc les clés, un sourire aux lèvres. Rien qu’à voir sa tête illuminé, il était tout éxcité à l’idée de pouvoir conduire, même quelques secondes, ce petit bijoux. Je lui glissais donc un petit billet dans sa poche de smoking en accompagnant mon geste d’un clin d’œil qui voulait dire : « T’inquiètes garçon, j’ai eu exactement la même réaction que toi la première. » . Et je dus me précipiter vers la portière passagère en réalisant que ma sœur était toujours à l’intérieur. Je lui ouvris donc la porte.

    Et tout en descendant, tandis qu’un rayon du soleil venait me frapper en plein dans les yeux, en voyant ma moue, elle me lança de son ironique : « Allez mon grand frère, ne pleure pas je vais t'en acheter une nouvelle paire toute belle et toute neuve, tu dois avouer que les tiennes avaient déjà six mois, elles étaient vieilles »
    Et voilà! Quand je vous dis que ma sœur à le don de dédramatiser les choses. Il fallait que je réplique à cette attaque. Je me parais donc :   « Certes elles étaient vieilles, déjà six mois, ça me fait tout drôle d’ailleurs de ne plus les avoir sur le nez. Mais tout de suite tu dis ça comme si ce n’était rien, mais que direz mademoiselle si elle se cassait un talon d’une de ses paires de chaussures de collections, et qu’il serait impossible de réparer ? Hein ?! » Lui lançais-je, sur le ton de la plaisanterie, comme toujours.

    Elle passa son bras à mon coude. Puis tous deux, nous nous dirigeâmes vers la double porte en verre du restaurant. Un serveur se jeta sur nous, nous complimentant sur tout et n’importe. « Satisfaire le client, règle d’or numéro Un ! » Il avait remplis le dixième de sa mission. Félicitation, son patron devrait-être ravi. Je lui glissais un petit billet dans la poche, pour le remercier de son amabilité. Voilà comment devait agir un gentleman. Du moins c’Est-ce qu’Armand m’avait toujours enseigné. « Un petit billet par-ci, un petit billet par-là , et hop, tu prends encore plus d’importance. »

    Il nous conduisit à une table. Et, connus comme les loups blancs, nous fûmes salués par tout le monde. Enfin arrivé à notre table, dans un petit coin tranquille, le serveur nous laissa pour aller nous chercher les cartes. Je tirais la chaise à ma sœur. Une fois cette dernière installée j’allais à ma place.
    Le jeune garçon nous apporta les menus, un sans les prix pour mademoiselle, un autre avec pour moi-même. C’était comme ça. Les dames devaient manger sans compter.

    « Que choisis-tu ? » Tout en jetant un rapide coup d’œil à la carte je lui dis : « Lyly, ça fait longtemps que nous ne nous sommes pas retrouvés tous les deux pour parler. Nous vivons sous le même toit, et pourtant … Je pense que nous avons beaucoup de choses à nous raconter. Je me trompe ?

    Parfois, deux personnes ont beau vivre sous le même toit, elles n’ont pas toujours la possibilité de pouvoir se retrouver et parler.


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MessageSujet: Re: Heureusement que tu es là ... [Amalia Chérie]   Heureusement que tu es là ... [Amalia Chérie] Icon_minitimeMar 1 Fév - 21:22

Heureusement que tu es là ... [Amalia Chérie] Tumblr_lfwrtgGUEu1qgacseo1_500

« Certes elles étaient vieilles, déjà six mois, ça me fait tout drôle d’ailleurs de ne plus les avoir sur le nez. Mais tout de suite tu dis ça comme si ce n’était rien, mais que direz mademoiselle si elle se cassait un talon d’une de ses paires de chaussures de collections, et qu’il serait impossible de réparer ? Hein ?! » Et voilà, j'avais fait un petit voyage assez plaisant dans sa voiture chérie, bon d'accord elle était bien sa voiture mais peut être un peu trop voyante pour moi ! Bref, il avait payé le portier - trop gentil mon grand frère - m'avait ouverte la porte & tout & tout. Et il me sortait sa ! Sacrilège ? Ajustant mes propres lunettes de soleil je le regarda d'un air dédaigné « Euh c'est pas pareil, toi tes lunettes elles se rachètent, pas mes chaussures ! » Vraiment une chose sur laquelle ne pas me chercher, mes chaussures ... Quel femme n'aime pas les chaussures vraiment ? Les miennes elles sont comme mes petits bébés, mes petites perles que personnes n'a le droit de toucher en dehors des créateurs eux mêmes. Bon d'accord, je ne passe non plus tout mon temps à les nettoyer, et je laisse faire quelqu'un MAIS elles sont la prunelles de mes yeux et ma fierté. Casser un de leurs magnifique talon ? Impossible, inimaginable ou sinon ? La mort de mon âme assuré vraiment ! Et c'est dans des moments comme celui-là que je me dis que je suis vraiment matérialiste parfois ... M'enfin, nous étions enfin entré dans l'antre de mon estomac, qui n'arrêtais pas de se plaindre en ce moment même ! La honte, quoi de plus honteux que d'entendre son propre vendre gargouiller ? Personne ne semblait avoir entendu OUF tant mieux ! Parfois je me demande comment on fait pour être aussi beaux tout les deux ? Sans me vanter, en voyant le regard des gens quand ils nous voient je jubile de l'intérieur. Ils nous adorent et franchement sa c'est génial. On est parfait tout les deux, du moins c'est comme sa que je me sens quand comme aujourd'hui on rentre dans une pièce, moi à son coude. Mon frère ... Quel gentleman, à glisser dans la poche de tout le monde un billet par ci et par là, appliquant parfaitement bien les indications d'Armand.
Quand on fut enfin installés mon ventre faisait encore du bruit, et c'est dans des moments comme celui-là que je bénis le fait qu'on s'appelle Ricci ! « Que choisis-tu ? » Regardant le menu un instant, juste pour le forme je referme ce dernier et regarde mon frère avec un grand sourire « Ils n'auront qu'a dire que je suis là et en cuisine ils seront parfaitement quoi m'apporter. » Trop génial de s'appeler Ricci vraiment ! « Lyly, ça fait longtemps que nous ne nous sommes pas retrouvés tous les deux pour parler. Nous vivons sous le même toit, et pourtant … Je pense que nous avons beaucoup de choses à nous raconter. Je me trompe ? Et c'est à ce moment là que la cerise que je venais de mettre dans ma bouche eu du mal à passer, mais vraiment beaucoup de mal, à tel point que j'eu à faire beaucoup d'efforts pour que cela ne se remarque pas, et pour que tout le monde ne se mette pas à me sauter dessus à taper sur toute les parcelles de mon dos à la limite de me déplacer la colonne vertébrale ! Un petit sourire en coin je regarde mon frère l'air de rien, et passe ma main dans mes cheveux ... Pourquoi est-ce que je les ai laissés détachés déjà ? Bien sur qu'il sait que je les touchent dès que je suis gêné. Prise au piège ... « C'est vrai qu'avec les réunions, les plans économiques, et tout et tout on a jamais le temps de se voir tranquillement tout les deux ! C'est ce que je disais la dernière fois à Cesare ... » Oups ! Alors oui je n'avais pas le temps de voir mon frère, mais son meilleur ami oui ? Quel idiote vraiment ! « Mais on est là tout les deux maintenant, c'est ce qui compte n'est ce pas ? » Noyer le poisson ? Vraiment pas subtile, encore quand on est comme moi et qu'on ne sait pas du tout faire sa face à son frère ! A la limite les journalistes et les inconnus sa passe, mais pas Damiano ... « Et puis tu sais je n'ai pas grand chose à raconter, depuis que je me suis calmée ... » Encore moins intelligent de remettre le passé sur la table vraiment, je fais signe au serveur de m'apporter un verre d'eau que je vide alors d'un trait regardant ailleurs. « Et toi quoi de beau ? » Sourire innocent, comme si j'étais pas assez pas crédible du tout ... Mais oui mon frère, tu m'aimes !
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Damiano A. Ricci
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Heureusement que tu es là ... [Amalia Chérie] _
MessageSujet: Re: Heureusement que tu es là ... [Amalia Chérie]   Heureusement que tu es là ... [Amalia Chérie] Icon_minitimeMer 2 Fév - 14:04

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Lie To Me !


    Ma sœur manqua de s’étouffer, j’avais dit quelque chose qu’il ne fallait pas ? Et en plus de ça elle faisait comme si de rien n’était. Pourtant je lui avais simplement et le plus naturellement du monde dit que nous avions des choses à nous dire.
    Visiblement elle ne s’attendait pas à ce que je lui dise ça. Quoi, qui avait-il de bizarre de dire à sa sœur ce genre de chose ? Rien à ce que je sache. Et cela ne faisait que me conforter dans mon impression. Nous avions des tonnes de choses à nous raconter, bien qu’elle ne faisait que de dire le contraire. Tant par ses mots que par sa façon d’agir. Amalia ne cessait de jeter des regards un peu partout, en m’évitant. Mais elle devait oublier que j’étais son frère, et qui plus est la connaissait par cœur soit dit en passant.

    Et elle ne trouva rien de mieux à me dire que ça : [color:25a9=dar magenta]« C'est vrai qu'avec les réunions, les plans économiques, et tout et tout on a jamais le temps de se voir tranquillement tout les deux ! C'est ce que je disais la dernière fois à Cesare ... » J’étais d’accord avec elle sur le fait que nous n’avions jamais le temps de nous voir entre toutes ces conneries qui nous prenaient tout nos temps libres, mais le fait qu’elle mentionne Cesare dans cette histoire me cloua quelques petites secondes sur place.
    Non ce n’était pas le fait qu’elle parle de lui, ou je ne sais quoi. Et d’une ça consolidé les pensées à propos de leur relations et de deux, je l’avoue ça m’avait un peu blessé de savoir qu’elle le voyait plus que moi, mais quand l’amour est là …

    Amalia dû s’apercevoir que ça m’avait « choqué » -en quelques sortes- car elle fit tout ce qui était en son pouvoir pour faire passer la pilule. « Mais on est là tout les deux maintenant, c'est ce qui compte n'est ce pas ? » Elle était adorable quand elle faisait comme si de rien n’était, trouvant autre chose à me mettre sous la dent histoire que j’oublie ce qu’elle venait de raconter. Je ne relevais, j’aimais bien mettre ma petite sœur adorée dans l’embarras. Elle ne savait plus où se mettre après. Hilarant. Bien sur ce n’était pas méchant ce que je faisais loin de là, mais depuis la fois où, quand nous étions petits, elle avait jeté par la fenêtre ma manette de PS3 et, pour que je ne m’en aperçoive pas, elle m’avait prêté sa petite Nitendo Ds, elle qui n’avait Jamais, mais au grand jamais voulu me la prêter. Je ne cessais de la faire tourner en bourrique.

    « Et puis tu sais je n'ai pas grand chose à raconter, depuis que je me suis calmée ... » Super, vraiment content, ça oui, je l’étais. Ma sœur n’avait strictement rien à me raconter. Pas de petites histoires croustillantes, pas de relations amoureuses, pas de guerres. Rien. Je n’allais certainement pas lâcher l’affaire si vite, qu’elle n’y compte pas. Elle devait bien me connaitre un peu, elle devait se douter que ça ne me suffirait pas son petit « depuis que je me suis calmée … je suis une sainte ni touche. » Bien sur, et moi je suis devenu pasteur.

    Le serveur arriva pile au moment où j’allais répliquer. Ma sœur avait de la chance.
      « J’imagine que pour mademoiselle Ricci, je dois vous annoncer en cuisine ? » Ma sœur lui fit un signe approbateur de la tête, le jeune garçon se tourna donc vers moi afin de prendre ma commande. « Hum je prendrais le menu à cinquante s’il vous plait. En entrée le carpaccio et pour le plat … Hum, j’hésite entre la farandole et la pièce. Je prendrais la pièce de bœuf s’il vous plait. » Le garçon nous reprit les cartes, et repartit, sa main droite dans le dos, l’autre tenant serré les deux menus. Je rivais alors mon regard à celui, brun, malicieux, de ma chère sœur. « Et bien tu viens de me dire le contraire Lyly, visiblement tu as beaucoup de choses à me raconter à propos de Cesare et toi ! Oses me dire que je me trompe. » Elle ne pouvait pas me mentir.

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